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1. Jeanne Benameur, Ceux qui partent.
1910, les migrants de la Vieille Europe arrivent sur l’île d’Ellis Island, passage obligé avant de débarquer à New-York. Une immersion durant un jour et une nuit dans l’antichambre cosmopolite du rêve américain, où la douleur de l’exil se mêle à l’espoir d’un nouveau départ.
 
 

image022. Michel Canesi & Jamil Rahmani, Alger sans Mozart.
Louise est une « pied noir » qui refuse l’exil vers la France à l’issue de la Guerre d’Algérie. Mariée par amour à un Algérien, elle ne trouvera jamais sa place dans un pays qui est pourtant le sien. Un drame familial intimement lié à celui d’un territoire, qui permet de mieux appréhender l’histoire contemporaine de l’Algérie.
 
 
 
image033. Fabrice Caro, Broadway.
Un roman humoristique narrant les démêlées d’un quadragénaire qui se rebelle contre la morosité de son quotidien. Axel parviendra-t-il a échapper aux petits tracas domestiques qui empoisonnent sa vie ? Rien n’est moins sûr, si ce n’est de connaître quelques fous rires à la lecture des aventures de ce sympathique anti-héros.

 
 
image044. François Cheng, L’éternité n’est pas de trop.
Dao-Sheng vit dans un monastère en pleine montagne. Un jour il décide de le quitter à la recherche d’une femme aperçue trente ans plus tôt dont il est éperdument amoureux. Une passion soumise à rude épreuve lorsqu’il retrouve l’être désiré. Une histoire d’amour de la portée de Tristan et Iseut dans la Chine de la dynastie Ming.

 
 

image055. Sandrine Colette, Juste après la vague.
L’effondrement d’un volcan provoque un gigantesque raz-de-marée qui noie une vallée entière. Face à la montée des eaux, un canot de sauvetage est la seule chance de survie d’une famille. Problème : tous les enfants ne peuvent y monter. Un roman poignant et sans pathos sur l’instinct de survie qui anime l’être humain quand les éléments se déchaînent.
 
 

image066. Shelby Foote, L’amour en saison sèche.
La lente agonie d’une famille de planteurs du sud des Etats-Unis entre la fin de la Guerre de Sécession et la Seconde Guerre Mondiale. Le vernis de la respectabilité va doucement se craqueler jusqu’à révéler le cynisme odieux qui régit les mœurs d’une société menaçant de s’effondrer sous le poids de son immoralité.

 
 
image077. Lorraine Fouchet, La mélodie des jours.
Pas facile de garder le moral pour Lucie, cette mère célibataire qui se voit diagnostiquer un cancer du sein alors qu’elle vient d’emménager dans une ville où elle ne connait personne. C’est sans compter sur les rencontres virtuelles (au départ) sur le Site des Voisins et les mystérieuses lettres d’amour qu’elle reçoit quotidiennement. Un « roman qui fait du bien » idéal en ces temps de morosité.

 

image088. Serge Joncour, Nature humaine.
Derniers jours de 1999. Avec la tempête, se sont envolées les dernières illusions d’Alexandre, un agriculteur du Lot. Reclus dans l’obscurité de sa ferme privée d’électricité, il se remémore trente ans d’exploitation. Serge Joncour tisse la geste désenchantée d’un monde paysan aux abois, mêlant histoire politique, évolutions sociétales et déclin d’une profession avec le souffle romanesque qu’on lui connait.
 
 

image099. Maël Renouard, L’historiographe du royaume.
Abderrahmane Eljahib, un modeste fils d’instituteur à la scolarité brillante, est choisi pour accompagner le futur roi du Maroc au Collège Royal. Quand Hassan II accède au pouvoir, Abderrahmane espère bien tirer parti de leur ancienne camaraderie. Mais la frontière est fort ténue entre grâce et disgrâce. Celui qui va devenir historiographe du royaume va découvrir les affres de la vie de courtisan. Un roman savoureux au fort goût d’authenticité.
 
 
image1010. Rivers Solomon, Les abysses.
Autrefois, lorsqu’une esclave était enceinte à bord d’un vaisseau négrier, elle était jetée par-dessus bord. Mais toutes ces femmes ne mourraient pas. Certaines se sont adaptées à la vie aquatique et ont bâti une société de sirènes tout en oubliant leurs origines. Un jour, Yetou, qui a le rôle d’historienne, va se rebeller et les leur rappeler. Un roman fantastique sur l’émancipation et le poids de la transmission.
 
 
 
image1111. Jon Kalman Stefansson, Lumière d’été, puis vient la nuit.
Les tribulations de Davíð, Sólrún, Jónas, Ágústa, Elísabet ou Kristín, les habitants d’un village islandais où tout le monde se connait et finit fatalement par se croiser au bureau de poste, à la coopérative agricole ou au bal. Jón Kalman Stefánsson se fait le chroniqueur facétieux de la vie de cette petite communauté isolée dans un style flirtant avec le réalisme magique cher aux auteurs sud-américains.